Mot-clé - Production orale

Fil des billets

26 septembre 2013

Leuk-Le-Lièvre

Nous avons profité de la lecture du chapitre Leuk découvre la brousse pour travailler sur le lexique des parties du corps et le pluriel et le singulier. Pour continuer à t'entraîner, clique sur le lien suivant :

  • Le lexique du corps :

http://www.education.vic.gov.au/languagesonline/french/sect30/index.htm

  • Les articles :

http://www.ithaca.edu/faculty/kaplan/art_part/art_part_frame.html

http://fog.ccsf.edu/~creitan/qch6popeye.htm

http://www.edu365.cat/eso/muds/frances/boire_manger/index.htm#

http://jeudeloie.free.fr/debutant/indef/oie.html

  • Le pluriel ;

http://w3.restena.lu/amifra/exos/orth/singplur.htm

http://www.didierconnexions.com/niveau1/?id=2-4-6-1

http://www.didieraccord.com/exercices/index.php?ex=1.3.4

Un extrait de la série télévisée franco-canadienne, Samba et Leuk-Le-Lièvre  :

http://www.youtube.com/watch?v=dg_aqbmNh2M

Quelques extraits du livre de Léopold Sédar Senghor (1906-2001) et Abdoulaye Sadji (1910-1961) sur le lien ci-dessous :

 

http://yvette.schroeder.free.fr/77lezarts/La_Belle_Histoire_de_Leuk-le-lievre.pdf

Le livret d'activités :

http://www.diplomatie.gouv.fr/fr/IMG/pdf/Leuk-le-lievre_livret-1.pdf

Pour écouter d'autres contes de l'Afrique de l'Ouest, du Nord et d'Haïti (Sais-tu qu'en Haïti, Leuk s'appelle Malice ?), clique sur le lien du site Conte-moi la francophonie :

http://www.conte-moi.net/conte-moi-francophonie

Ô ma maison

Une activité d'écriture proposée par "Les petits carnets d'écriture 1" (SCÉRÉN/Gallimard Êducation) :

"Je me souviens, te souviens-tu ?"

Il s'agissait, à partir d'un tableau de Henri Matisse, La desserte, harmonie rouge (1908)/http://www.musee-matisse-nice.org/

et d'un texte d'Albert Cohen, extrait de Le livre de ma mère,

 

 

« Ô mon enfance, gelée de coings, bougies roses, journaux illustrés du jeudi, ours en peluche, convalescence chérie, anniversaires, lettres du nouvel an sur papier à dentelure, dindes de Noël, fables de la fontaine idiotement récitées debout sur la table. »

De se replonger dans ses souvenirs de petite enfance, ses joies, ses chagrins, ses peurs... des bruits... des parfums... 

De les exprimer par écrit et de les illustrer en s'inspirant des collages de Matisse :

 

Ô LA MAISON DE MES VACANCES

Écouter :

o_ma_maison_sidika.wav

Dans la maison de mes vacances,

il y avait la libération de la couleur,

des fruits,

le chant des oiseaux,

le bruit des avions dans le jardin.

Il y avait des bruits d'animaux.

Il y avait des tables, une télévision.

La nuit,

j'avais peur de sortir sur le balcon

parce qu'il n'y avait personne dehors.

Il y avait des jardins avec des légumes et des arbres

. Avec mes grands-parents et ma famille,

on partait en pique-nique

dans la forêt.

Sidika

 

Ô MA MAISON

Écouter :

o_ma_maison_sulaksan.wav

Les chants des oiseaux,

Les odeurs de cuisine,

Lorsque je jouais avec mon frère,

Les gens gentils,

Lorsque je jouais avec mes amis de l'école,

Lorsque je jouais à cache-cache,

Lorsque je courais avec mes amis et que j'arrivais le premier,

Lorsqu'on avait fait des bêtises à l'école,

Lorsqu'on grimpait aux arbres de la cour de l'école.

Sulaksan

 

Ô MA MAISON

Écouter :

o_ma_maison_tariqul.wav

L'odeur de cuisine,

Les conversations familiales,

Les joueurs stupides,

Les gens gentils,

La peur de traverser la rue,

La peur des fantômes,

Les chants des oiseaux,

Les grandes fêtes,

Les beaux cadeaux,

Je volais les fruits des autres,

Le plaisir de se baigner avec les copains,

Les bruits du jardin,

Et grimper aux arbres.

Tariqul

 

Ô ma maison

Écouter :

o_ma_maison_yvaliska.wav

Dans la maison de ma grand-mère,

il y avait des fleurs,

des arbres.

La maison était peinte en marron et beige.

La maison était bien la journée

mais le soir j'avais peur

parce qu'il y avait des souris.

Ça me faisait peur.

À l’extérieur de la maison,

il y avait des animaux,

des chiens, des cabris et des bœufs.

À l'intérieur de la maison,

il y avait une table,

un lit,

un salon et des tableaux.

J'ai encore un chat qui s'appelle Vava.

Je l'aime beaucoup.

Pour moi, c'est un bébé.

Yvaliska

 

08 décembre 2011

LA RUE CASES-NÈGRES

Rue Cases-Nègres est un film français réalisé par Euzhan Palcy en 1983. C'est une adaptation du roman de Joseph Zobel.

À la fin de la semaine, les ouvriers agricoles vont chercher leur salaire. Mais on ne leur donne pas beaucoup d’argent alors qu’ils travaillent très dur. M’man Tine prépare le repas mais il n’y a pas beaucoup à manger parce qu’elle ne gagne pas beaucoup d’argent.

José réussit ses examens, il a sauté de joie et M’man Tine l’a embrassé. Monsieur Roc, l’instituteur, a félicité José.

José part au lycée.

Sidika


 Dans le village de José, tout le monde, même les enfants, travaille très dur. Mais les chefs donnent seulement un peu d’argent. Un ouvrier n’est pas d’accord, alors un chef se met en colère et l’ouvrier s’en va.

La grand-mère de José ne veut pas qu’il travaille dans les champs de canne à sucre. Elle veut qu’il aille à l’école. Mais José veut faire comme les autres enfants. Finalement, il continue ses études.

Mary-Fénina


 

D’abord la grand-mère est forte pour le travail. Elle travaille beaucoup pour payer le lycée pour José. Puis elle tombe malade, elle est trop fatiguée. José lui avait promis une belle maison avec des fleurs. Mais M’man Tine meurt.

Tariqul


 

C’est très triste. Le vieux monsieur, M. Médouze, est mort. Je l’aimais bien parce qu’il racontait des histoires.

Les enfants ont bu du rhum et ils ont mis le feu à une case. Les adultes les ont punis. Pour ne pas être seuls au village, ils sont obligés de travailler dans les champs de canne à sucre.

José a réussi ses examens. C’est bien, sa grand-mère est contente.

Mamoye


 

Au début, Léopold était riche.

Quand il pleuvait, les autres mettaient du papier journal sous leurs habits, mais lui ne faisait pas ça.

Le père de Léopold, un béké, est propriétaire des champs de canne à sucre. Mais quand il meurt, il ne veut pas donner son nom à son fils qui s’enfuit en pleurant.

Plus tard, Léopold devient pauvre comme les autres. Il doit travailler à l’usine. Il vole le cahier de comptes pour montrer aux ouvriers que les propriétaires gagnent beaucoup alors qu’ils ne gagnent qu’un petit peu d’argent.

Il est arrêté et mis en prison.

Issiaka


 

José est au lycée. Il écrit une belle rédaction mais le professeur dit qu’il a triché. José pleure, triste, et il part voir Carmen son ami. Il lui dit qu’il n’a pas triché.

Pendant ce temps, le professeur va chez José et dit à sa grand-mère que José a fait un bon travail. Il présente ses excuses.

José arrive et sa grand-mère dit :

-         Tu as fait un bon travail !

José saute de joie. Il est content.

Sulaksan


 

C’est José et son amie. Ils partent à l’école. Ils portent un paquet avec leurs cahiers.

Le professeur, monsieur Roc, est gentil mais sévère. Il tire les oreilles des élèves qui se bagarrent ou qui arrivent en retard.

Mary


 

José est un garçon très bon élève à l’école. Mais il fait aussi des bêtises. José réussit ses examens et obtient une bourse pour le lycée.

Le lycée est très cher pour la grand-mère, elle doit travailler dur. Elle lave et repasse beaucoup de linge. M’man Tine ne veut pas que José travaille dans les champs de canne à sucre.

Diogo


 

Les parents travaillent aux champs de canne à sucre. Les enfants entrent dans le jardin d’un voisin, mangent les fruits et trouvent un œuf de poule. La plus grande demande à la plus petite d’aller chercher des allumettes. La petite rapporte des allumettes et une bouteille de rhum.

Les enfants boivent et deviennent saouls. Un garçon met le feu au jardin et tous les enfants dansent.

Les adultes éteignent le feu et les enfants sont battus. Mais M’man Tine dit au voisin :

-         Tu n’as pas honte de taper ces enfants ?!...

Les enfants sont obligés par les békés d’aller travailler dans les champs de canne à sucre pour ne pas rester seuls dans le bourg.

Issiaka


 

La grand-mère fait tout pour que son garçon soit un bon garçon à l’école. Ainsi, il sera un bon élève. Le jour où elle est partie pour l’inscrire au lycée, il fallait beaucoup d’argent, alors elle a travaillé toute la nuit.

Karim

page 2 de 2 -